En quelques semaines nous avons pu observer un miraculeux silence radio de l’ensemble de la presse et médias français concernant deux sujets importants qui touchent particulièrement à l’actualité de l’islam et des musulmans de France :
1er sujet – La lettre de Dalil Boubakeur, alias SYCOPHANTE, recteur de la Grande Mosquée de Paris, adressée à Nicolas SARKOZY pour balancer l’UOIF et son cousin Dahmane Abderrahmane, ex-conseiller technique à l’ELYSÉE, aujourd’hui conseiller culturel à la Grande Mosquée de Paris. Dahmane Aderramane, qui dans cette lettre est insulté d’antisémite par son cousin BOUBAKEUR, a été en mai 2011 licencié par M. SARKOZY pour avoir qualifié François COPE de « peste de l’UMP ».
2ème sujet – Le Pèlerinage (Hajj) à la Mecque avec ses 20 000 pèlerins français (dont les aumôniers militaires français) qui se rendent depuis près de deux semaines aux Lieux Saints de l’islam : Médine et la Mecque. Pèlerinage à la Mecque que ne pourront malheureusement pas accomplir les 2000 à 3000 pèlerins français victimes d’arnaques sur l’ensemble du territoire de la République. Et pour cause, les rabatteurs et agences de voyages voyou ont bien travaillé sous l’aile protectrice de cette République islamophobe.
Ce mutisme imposé aux médias français est un miracle qui n’est pas anodin, il démontre de par sa nature la main de cet architecte UNIQUE qui illumine, fabrique et manipule les consciences ou les inconsciences de ses sujets, de ses objets déshumanisés, réduits à l’état de simples pions, de consommateurs passifs et dociles à souhait.
Le boycott de la lettre immonde de Dalil BOUBAKEUR, digne des plus grands esprits délateurs, démontre que toute cette presse française que l’on croit libre et indépendante ne l’est, en vérité, qu’illusoirement dans un certain intervalle autorisé et bien balisé par les vrais tenants du pouvoir en France. Il a suffit d’un coup de sifflet à ultra-son pour voir tous ces plumitifs de la presse française, sous l’autorité de leurs rédacteurs en chef, se terrer dans un silence protecteur et salvateur de la marionnette de l’islam maçonnique de France incarné par le CFCM et Dalil BOUBAKEUR, porte-voix de la Grande Mosquée de Paris (GMP).
Quant au second mutisme, il dénote la réelle haine de la France envers ses musulmans. Les médias (y compris des médias musulmans de France) ont boycotté ce sujet, habituellement et largement traité les années précédentes, du Pèlerinage à la Mecque (Hajj) et de ses milliers de victimes « françaises », ayant une fois encore subit les affres de leur négligence, des arnaques d’agences voyou ainsi que des rabatteurs-margoulins prospérant impunément depuis des années sur le territoire de cette République malade et satanisée. Ces rabatteurs, ces voleurs du cinquième pilier de l’islam, bénéficient de la protection bienveillante d’un pouvoir occulte qui trouve toute sa jouissance dans le spectacle du malheur d’une frange indésirée de sa population, à savoir les musulmans de France.
Par ailleurs, nous pouvons également comprendre ce silence médiatique commandité comme un bras d’honneur français adressé à l’Arabie Saoudite qui a récemment décidé d’honorer l’Espagne plutôt que la France du projet – Al Haramaïn – estimé à 6,7 milliards d’euros , qui doit aider au transport des pèlerins par TGV entre Djeddah et les deux villes saintes de l’islam. Doit-on voir, dans cette déconvenue française de dernière minute, la main cachée des américains ? Ou bien la France est-elle une fois encore victime de son arrogance et de son orgueil légendaire cachant, sur ce coup, ses vraies incompétences sur le plan du commerce international mondialisé ?
B.S
Les éditions Apopsix viennent de publier un ouvrage intitulé « La presse française et l’Algérie – au travers de la perception du phénomène islamiste » de Hacène Haifi, sur l’influence de la presse française sur les relations franco-algériennes.
La presse française, considérée comme le médiateur des liens franco-algériens, est passée au crible de l’analyse à travers le prisme du phénomène islamiste qui suscite, des deux côtés de la rive méditerranéenne, de fortes réactions passionnelles. Évoquer l’Algérie déclenche aujourd’hui des sentiments très vifs, notamment si la question de l’islamisme est abordée. Ce travail se situe à l’intersection de ces deux premiers thèmes, Algérie et Islamisme, associés à un troisième thème, celui de la Presse et plus précisément la Presse française traditionnellement relais d’opinion. Ces trois éléments (Algérie, Islamisme et Presse française) sont au cœur de cette analyse.
Entre le quasi-silence médiatique (des années soixante-dix) et la sur-médiatisation de l’actualité islamiste (des années quatre- vingt dix) , une tendance domine : ce mouvement politico-religieux est vu sous l’œil de la passion, de la peur de la foule fanatisée.
L’irruption de l’islamisme sur la scène politique algérienne soulève alors, chez les journalistes, un délicat problème : quelle est la véritable personnalité de l’Algérie ?.
Détenant le sentiment que ce qui touche l’Algérie touche la France, la presse va alors apporter ses réponses, lesquelles dessinent et aspirent à une certaine Algérie. Aussi ce livre soulève des questions : quelle est cette Algérie vue par les journalistes hexagonaux ? Comment s’exprime l’imaginaire algérien de la presse française, quelle est sa force, quels sont ses fondements ? Quelles sont ses influences ? Autant de problèmes que l’étude relative à la couverture médiatique de l’islamisme semble pouvoir nous aider à solutionner.
A l’heure des révolutions arabes, ce livre peux éclairer le lecteur sur la confrontation entre démocratisation et islamisation d’un pays qui a eu a vivre des bouleversements institutionnels et sociaux historiques.