La polémique autour de la nomination de M. Rafik Abdessalam Bouchlaka à la tête du ministère tunisien des Affaires étrangères n’est pas prêt de désenfler. Peu importe qu’il soit le gendre de Rached Ghanouchi, le chef du parti Ennahda – ce lien familial ne doit pas être d’un quelconque empêchement dans sa « carrière » politique ou professionnelle comme il ne doit pas, non plus, être un moyen d’accéder à des fonctions qu’il ne mériterait pas ou un objet de privilèges –, peu importe même, à la limite, qu’il ait participé à une réunion de l’Otan qui s’est tenue à Doha les 8 et 9 février 2010, un document [est-il partiellement faux?], le nouveau chef de la diplomatie tunisienne ne réfute pas sa présence à cette réunion mais nie y avoir représenté le Qatar, cite son nom comme l’un des neufs représentants de cet émirat auquel M. Rafik Abdessalam Bouchlaka est indéniablement lié sinon politiquement du moins professionnellement en tant que président du Centre des Etudes de la chaîne Al Jazeera.
Cette question concerne au premier chef les Tunisiens et nous ne nous immisçons pas dans les affaires intérieures de la Tunisie en la soulevant et en nous interrogeant à ce propos, mais l’hégémonisme que développe le Qatar dans la région maghrébine nous interpelle et nous inquiète. Il nous inquiète d’autant plus que les relations de cet émirat dont le territoire abrite des bases militaires américaines avec les Etats-Unis, sont tellement étroites que le Qatar apparaît comme un appendice de Washington qui le protège.
Un arabe israélien, Raslan Abu Rukun, consul aux Etats-Unis, serait chargé de mener des actions de lobbying et les contacts avec tous ces satellites qui gravitent autour de Qatar pour normaliser leurs relations avec Tel-Aviv. Le porte-parole du Conseil national de transition [CNT] libyen, Ahmed Chaâbani, aurait évoqué «la nécessité d’établir des relations avec Israël». De son côté, le chef du parti tunisien Ennahda qui s’est rendu aux Etats-Unis où il était interdit d’y entrer aurait rencontré, selon « The Economist » des personnalités israéliennes pour les rassurer que la prochaine « Constitution tunisienne n’interdirait pas les contacts avec Israël ». Le Qatar ne serait pas étranger à ce changement de politique à l’égard d’Israël.
Voici les visages démasqués des traites Qatari ( ces sionistes Arabes )
Il faut les chasser du MAGHREB , nous avons besoin ni de leur sous, ni de leur idéologie islamique retrograde ! Nous sommes en pleine dissension de part la soif de pouvoir ces monarchies pétrolières et les occidentaux en profitent bien de cette faille.
« sionistes Arabes »…c’est bien la premiere fois qu’un titre elogieux est donné à un pays arabe !!!!
comment se fait-il qu’un pseudo-pays pas plus grand qu’un crachat fasse autant de mal impunément aux arabes et à leurs intérêts supérieurs ? Pourquoi autorise-t-on la chaine el-djazira dirigée et financée par des traitres continuer à diffuser son venin sur les arabes et servir de tremplin aux intérets des sionistes et des occidentaux. Nous ne voulons plus des gens du Qatar au maghreb. Il faut leur interdire l’entrée de nos pays et également ils peuvent se garder leurs pseudo investissements, on n’en veut pas