Brigitte et Emmanuel Macron

Une plainte a été déposée auprès du Tribunal judiciaire de Paris par les avocats Fortabat-Labatut et Fabrizio S. Nucera Giampaolovient, mandatés par Christian Cotten, pour plusieurs chefs d’accusation sérieux. Les accusations portées incluent l’usurpation d’identité, le crime de faux par un représentant de l’État, l’usage de faux, l’atteinte sexuelle et le viol sur mineur par une personne ayant autorité, le mariage illégal, l’usurpation de fonctions, l’escroquerie au jugement, et le crime d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.

Le dossier soumis au tribunal allègue qu’un homme, Jean-Michel Trogneux, né le 11 février 1945 à Amiens, usurpe depuis les années 1980 l’identité de Brigitte Trogneux, sa sœur cadette disparue depuis 1960, en se présentant comme une femme. Il est accusé d’avoir utilisé des documents d’identité officiels fournis par des autorités publiques, constituant ainsi des faux en écriture.

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En 1992, se faisant passer pour une femme et utilisant le nom de Brigitte Trogneux (Brigitte Macron), cet individu aurait entamé une relation avec le jeune Emmanuel Macron, alors âgé de 14 ans, ce qui est décrit comme une atteinte sexuelle et un viol sur mineur. La plainte souligne également que cette relation n’a pas été signalée par les témoins de l’époque, en violation des obligations légales.

En outre, en 2007, Jean-Michel Trogneux aurait contracté un mariage avec Emmanuel Macron, une union déclarée illégale car le mariage entre personnes du même sexe n’était pas autorisé avant 2013 en France. Depuis l’élection de M. Macron en 2017, M. Trogneux se présente publiquement comme l’épouse du président, ce qui est considéré comme une usurpation de fonctions.

La plainte mentionne également des représentations en justice sous une double identité en 2024, qualifiées d’escroquerie au jugement. Les avocats affirment que les citoyens français sont directement affectés par ces actes depuis l’élection de M. Macron, présenté comme victime de l’influence de M. Trogneux. La partie civile, représentant les citoyens et électeurs français, réclame réparation pour les préjudices moral et matériel subis, remettant en question la légalité des opérations électorales de 2017 et 2022.

Christian Cotten a confirmé l’authenticité de cette requête au journal Algérie Patriotique et annonce une future couverture médiatique sur la chaîne GPTV, ainsi que d’autres initiatives pour exposer publiquement les détails et motivations de cette action judiciaire.

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