Le risque pour l’Émirat wahhabite est énorme. Si par malheur le public occidental avait accès au rapport, c’est bien au Qatar et à ses relais qu’il risquerait de demander des comptes
Docteur Mourad Dhina a été arrêté hier à l'aéroport de Paris-Orly à la demande des autorités algériennes.
Dr Dhina, directeur exécutif de l'ONG arabe Alkarama...
De la même manière qu’il faut récuser les faux islamistes, il faut récuser les faux réformateurs qui ont le talent de cacher leur agenda et de vouloir s’imposer comme en 1991 comme l’alternative entre les Islamistes et le Pouvoir algérien.
Être pour ou contre l’ingérence étrangère ? Être pour ou contre la souveraineté du peuple dans l’exercice politique, économique, informationnel, éducatif de ses devoirs et de ses droits ? Être pour ou contre des réformes structurelles qui garantissent à la fois la souveraineté populaire et l’édification nationale dans un projet civilisationnel hors de la corruption, de la rente, de la vassalisation, de l’oppression, de l’improvisation et de la confusion ?
C’est le résultat logique de la médiocrité du MSP, du RND et du FLN. C’est le résultat illogique en apparence formelle, mais logique en contenu de politique étrangère américaine : interdire l’arrivée des islamistes en 1992 et les tolérer en 2012.
La présence ottomane en Algérie, dans le cadre du Khalifat ottoman, a duré trois siècles. Et c’est vraiment faire injure au peuple algérien que de croire qu’il aurait pu supporter durant trois cents ans cette prétendue « colonisation turque » sans réagir ou se révolter.
Nous devons faire preuve de la même lucidité, de la même clarification contre la confusion, et du même engagement, car hier comme aujourd'hui l'Algérie est en quête de son indépendance.
Dans le complot qui se trame contre l'Algérie et qui se dessine de plus en plus net et de plus en plus décisif, nous nous interrogeons comme observateur sur les conditions, les circonstances et les garanties du retour du FIS à l'exercice politique.
L’Islam n’a virtuellement joué aucun rôle dans la politique étrangère de la Turquie. L’exemple le plus fragrant a été la poursuite des relations turques avec Israël, quelque chose que l’Islam interdit catégoriquement.
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