Est-ce que les Algériens ont envie de débattre ou de faire la fête comme en 1962, là est la question centrale ? Est-ce qu’on leur a donné suffisamment d’outils et d’informations ? Est-ce qu’ils ne sont pas otages des réseaux sociaux ?
Au moment où les « politiciens épiciers » cherchent la conquête du pouvoir pour satisfaire leurs appétits mondains, imposer leur revanche ou réaliser des agendas étrangers, nous posons quelques questions sur ce qui fait notre identité : L’Algérianité.
Regardez comment aujourd’hui tous les anciens acteurs du désastre algérien sont convoqués pour jouer le rôle qui leur est dévolu : maintenir en place l’échafaudage où s’activent les démolisseurs de l’Algérie.
Une seule voie : le débat d’idées, l’émergence de projets de souveraineté et l’imposition des choix populaires contre l’inquisition politicienne, culturelle, informationnelle et pseudo intellectuelle.
Le pire voire la trahison, c’est de faire croire que le fédéralisme est la solution, oubliant que la solution américaine fédérative est une intégration de plusieurs états qui étaient indépendants et en guerre civile...
En tous les cas, bravo aux populations algériennes pour avoir osé défier la peur et l’enfermement. Il faut maintenant aller de l’avant et c’est sur terrain plus difficile que nous attendons les nouvelles élites. Est-ce qu’elles sont capables de déjouer les manœuvres sordides du colonialisme ?
Les Assemblées Populaires doivent vivre dans cette ambiance créative et libertarienne et participer à la création du nouvel environnement de l’Algérien. C’est l’acte populaire et politique par excellence.
Dans notre analyse sur l’Algérie, l’idéologie est plus importante que l’économie et la politique, car elle concerne nos mentalités et nos consciences...
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