La présence ottomane en Algérie, dans le cadre du Khalifat ottoman, a duré trois siècles. Et c’est vraiment faire injure au peuple algérien que de croire qu’il aurait pu supporter durant trois cents ans cette prétendue « colonisation turque » sans réagir ou se révolter.
Nous devons faire preuve de la même lucidité, de la même clarification contre la confusion, et du même engagement, car hier comme aujourd'hui l'Algérie est en quête de son indépendance.
Dans le complot qui se trame contre l'Algérie et qui se dessine de plus en plus net et de plus en plus décisif, nous nous interrogeons comme observateur sur les conditions, les circonstances et les garanties du retour du FIS à l'exercice politique.
A notre sens, la Turquie d’Erdogan est plutôt devenue la « fille dépravée de l’Europe » en défendant une chose et son contraire. Tantôt elle adopte les thèses occidentales dans l’espoir d’y être intégrée, tantôt elle feint s’y éloigner pour plaire aux arabes.
«Nous avons constaté qu’il existait plusieurs champs d’activité où nous entretenons une très étroite coopération», a souligné Dirk Brangleman, cadre politique de l'Otan.
La néo-colonisation de l’Algérie reprend comme en 1991 par l’effet Panurge qui consiste à traiter le peuple algérien de Ghachi, on s’est trompé de peuple après les élections, maintenant on le traite de bétail avant les élections.
La « comparution-audition » d’un membre du gouvernement algérien par devant une instance parlementaire étrangère est un acte politico-diplomatique sans précédent depuis que l’Algérie est « indépendante ».
Le Général Khaled Nezzar se plaint d'une conspiration contre lui. Les Journaux au service des "Srebess", des H'nouchas et des Rtilates après avoir enfoncé...
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