Candidat à la présidentielle avortée de 2019, l’officier avait été condamné à quatre ans de prison. Il devait sortir au mois de juin prochain, mais la justice vient d’alourdir sa peine.
Il serait préjudiciable à l’armée que l’affaire Ghediri soit une faute politique, un règlement politique ou une mine mise par Tewfik ou Rebrab, l’équipe Bouteflika, un juge incompétent, ou par les services étrangers et ils sont capables de le faire pour reprendre la main et empoisonner le climat algérien dont il maitrise les rouages et les réseaux.
Le pire voire la trahison, c’est de faire croire que le fédéralisme est la solution, oubliant que la solution américaine fédérative est une intégration de plusieurs états qui étaient indépendants et en guerre civile...
Dans notre analyse sur l’Algérie, l’idéologie est plus importante que l’économie et la politique, car elle concerne nos mentalités et nos consciences...
Le peuple algérien fera avorter tous les complots, il fera face à toutes les opérations de subversion et de diversion. Les jeunes n’accepteront plus de se faire massacrer par des séniles, des idiots et des médiocres. Le divorce est prononcé, la rupture est inéluctable.
Le clivage réel est entre partisans du statu quo rentier et corrompu avec le recours à l’étranger et partisans du changement radical avec recours aux forces vives de la Nation. Le clivage réel est entre partisans de la souveraineté nationale et partisans de la servitude.
Si la tentation officielle de justifier l’absence d’Abdelaziz Bouteflika candidat potentiel est bien réelle, il faut rappeler que la Loi fait obligation à tout candidat de se présenter personnellement au Conseil constitutionnel pour y déposer son dossier...