Par ses positions respectables vis-à-vis de la Syrie, de la Libye, du Yémen, de la Palestine et de l’Iran, même si nous attendions davantage, l’Algérie est sous les feux de la rampe. Les ennemis sont sans foi ni scrupules, rancuniers et sans limites.
A notre sens, la Turquie d’Erdogan est plutôt devenue la « fille dépravée de l’Europe » en défendant une chose et son contraire. Tantôt elle adopte les thèses occidentales dans l’espoir d’y être intégrée, tantôt elle feint s’y éloigner pour plaire aux arabes.
"Si les peuples d’Europe ne se lèvent pas, les banques ramèneront le fascisme"
28 octobre 2011 (Nouvelle Solidarité) – Alors que la Grèce est placée...