Voilà la solution : Déclencher une nouvelle grève totale en Algérie, pas pour huit jours, mais permanente jusqu’au départ du système qui se trouvera désarmé face à des rues vides, sans jeunes manifestants à rafler et tabasser pour l’exemple. Aucune excuse pour les forces anti-émeutes pour frapper une popul ation absente des espaces publics.